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CALENDRIER 2022
JAFATA CUP
Les Légendes du poker
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Les Légendes du poker
Née en Angleterre en 1851, Alice Ivers est arrivée aux Etats-Unis à l’âge de 12 ans, en Virginie. Sa famille n’a pas tardé à filer vers le Colorado, à Salt Lake City, pour profiter des mines d’or. Plus tard, elle est retournée en Virginie pour y suivre l’éducation d’une jeune fille rangée, après quoi est elle revenue auprès de ses parents pour se marier avec un ingénieur des mines.
On la retrouve peu après à la table de pharaon de la Gold Dust Gambling House, contre les plus grands flambeurs de l’époque. Comment est-elle arrivée là ? Cela reste un mystère. Mais rien n’arrête une femme déterminée, comme l’Histoire nous l’a prouvé maintes fois. Cette jeune femme habillée comme une princesse mélangée à de rudes mineurs mal dégrossis a attiré les foules. Les joueurs ont vite appris qu’il valait mieux ne pas trop s’y frotter. C’était une excellente joueuse. Elle semblait prendre un réel plaisir à se trouver seule face à une flopée d’hommes, à montrer qu’elle était capable de leur tenir tête sur leur terrain.
Pourtant, un joueur du nom d’Hardesty a tenu à exaucer ses désirs : jouer contre lui. Vers minuit, Hardesty clamait : « La banque est fermée pour ce soir. » Alice venait de faire sauter la banque ! « Chance du débutant », disait-on autour d’elle. Le lendemain matin, elle est revenue sur place, a acheté la banque et a affronté les joueurs. Le soir même, elle rentrait chez elle avec 1.500 dollars de plus, une somme énorme pour l’époque.
Elle a ensuite tenté sa chance au blackjack. « J’y ferai plus d’argent qu’au pharaon », dit-elle à son mari qui voulait l’en dissuader. Ce qui fut dit fut fait. Elle avait battu le banquier en trois heures. Les observateurs expliquent ces faits par la capacité unique qu’avait Alice de calculer ses chances.
La vie de Poker Alice se mit à tourner uniquement autour des jeux de cartes. Elle n’avait aucun égard pour l’argent, qu’elle dépensait sitôt gagné. Mais c’est peut-être aussi pour cela qu’elle pouvait en gagner énormément au jeu. Puis elle connut le veuvage à la suite d’une explosion minière. Elle devint itinérante, alla de ville en ville, où la légende dit qu’elle a triomphé, entre autres, de Bat Masterson et de Doc Holliday, à leur table de Poker.
Elle finit par échouer à Deadwood, dans le Dakota du sud, où elle se maria avec un certain Tubbs, joueur professionnel. Deux mois plus tard, elle tue un joueur qui avait traité son mari de tricheur. Le couple quitte la ville pour Sturgis, où il s’installe dans une ferme pour élever des porcs. En 1910, Tubbs meurt d’une pneumonie. Sa femme vend la ferme puis ouvre un casino, toujours à Sturgis. Elle se marie ensuite avec George Husckert, lequel meurt au bout de trois ans.
Alice ne s’est plus remariée. Elle était souvent soule et fumait de gros cigares. A 79 ans, son médecin lui a prescrit une opération à la vessie. « C’est vous qui donnez les cartes », dit-elle. « Je jouerai la main que je recevrai. » Elle meurt sur la table d’opérations le 27 février 1930. Ruinée.
On la retrouve peu après à la table de pharaon de la Gold Dust Gambling House, contre les plus grands flambeurs de l’époque. Comment est-elle arrivée là ? Cela reste un mystère. Mais rien n’arrête une femme déterminée, comme l’Histoire nous l’a prouvé maintes fois. Cette jeune femme habillée comme une princesse mélangée à de rudes mineurs mal dégrossis a attiré les foules. Les joueurs ont vite appris qu’il valait mieux ne pas trop s’y frotter. C’était une excellente joueuse. Elle semblait prendre un réel plaisir à se trouver seule face à une flopée d’hommes, à montrer qu’elle était capable de leur tenir tête sur leur terrain.
Pourtant, un joueur du nom d’Hardesty a tenu à exaucer ses désirs : jouer contre lui. Vers minuit, Hardesty clamait : « La banque est fermée pour ce soir. » Alice venait de faire sauter la banque ! « Chance du débutant », disait-on autour d’elle. Le lendemain matin, elle est revenue sur place, a acheté la banque et a affronté les joueurs. Le soir même, elle rentrait chez elle avec 1.500 dollars de plus, une somme énorme pour l’époque.
Elle a ensuite tenté sa chance au blackjack. « J’y ferai plus d’argent qu’au pharaon », dit-elle à son mari qui voulait l’en dissuader. Ce qui fut dit fut fait. Elle avait battu le banquier en trois heures. Les observateurs expliquent ces faits par la capacité unique qu’avait Alice de calculer ses chances.
La vie de Poker Alice se mit à tourner uniquement autour des jeux de cartes. Elle n’avait aucun égard pour l’argent, qu’elle dépensait sitôt gagné. Mais c’est peut-être aussi pour cela qu’elle pouvait en gagner énormément au jeu. Puis elle connut le veuvage à la suite d’une explosion minière. Elle devint itinérante, alla de ville en ville, où la légende dit qu’elle a triomphé, entre autres, de Bat Masterson et de Doc Holliday, à leur table de Poker.
Elle finit par échouer à Deadwood, dans le Dakota du sud, où elle se maria avec un certain Tubbs, joueur professionnel. Deux mois plus tard, elle tue un joueur qui avait traité son mari de tricheur. Le couple quitte la ville pour Sturgis, où il s’installe dans une ferme pour élever des porcs. En 1910, Tubbs meurt d’une pneumonie. Sa femme vend la ferme puis ouvre un casino, toujours à Sturgis. Elle se marie ensuite avec George Husckert, lequel meurt au bout de trois ans.
Alice ne s’est plus remariée. Elle était souvent soule et fumait de gros cigares. A 79 ans, son médecin lui a prescrit une opération à la vessie. « C’est vous qui donnez les cartes », dit-elle. « Je jouerai la main que je recevrai. » Elle meurt sur la table d’opérations le 27 février 1930. Ruinée.
letangerois- Coin Flip
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Re: Les Légendes du poker
tres sympa cette rubrique si tu en as d' autres
lagomme- Poker Face
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Re: Les Légendes du poker
Stu Ungar est né le 8 septembre 1953 à New York. Il grandit dans le Lower East Side, et eut une passion pour les cartes dès le plus jeune âge. Il commence à jouer au Gin Rami et, en 1963, à l’âge de 10 ans, il gagne son premier tournoi. A 14 ans, il joue régulièrement et bat les meilleurs joueurs de New York. A 15 ans, il participe à un gros tournoi et gagne le premier prix de 10000 dollars sans jamais avoir perdu une main. Un record toujours d’actualité dans les cercles de jeux new-yorkais. Une semaine plus tard, après avoir donné 1.000 dollars à ses parents, il perd le reste aux courses.
Après la mort de son père, il déménage à Miami, où se jouent les plus grosses parties de Gin Rami. Il enchaîne les succès, mais son penchant pour les paris et les courses le ruinera petit à petit. En 1976, sans argent, il se fait financer l’entrée d’un tournoi se déroulant à Las Vegas. La victoire ne sera qu’une simple formalité, et pour prouver sa parfaite lecture du jeu adverse, il prend plaisir à annoncer les mains perdantes de ses adversaires. Mais après avoir empoché les 50.000 dollars du vainqueur, il ne sera accepté dans aucune partie.
Il décide alors de tenter sa chance en tant que joueur de blackjack. Son excellente lecture du jeu et son incroyable capacité à compter les cartes lui vaudront de belles réussites. La légende raconte que ce sont ses capacités de comptage des cartes qui obligeront les casinos à supprimer les tables de black-jack à un seul jeu de cartes. La rumeur rapporte que de cette manière, il gagna 80.000 dollars au Caesar’s Palace. Quand le responsable décida d’arrêter la partie, Stu annonça, dans l’ordre, les 18 dernières cartes restantes dans le jeu. Sa photo fût alors affichée dans le poste de sécurité de tous les casinos du strip et il fût interdit de jeu.
Stuey Ungar commence alors à s’intéresser au poker. En 1980, il s’inscrit pour la première fois au tournoi WSOP (World Series Of Poker). Il se rendit mâitre à la table finale de Doyle Brunson (le second), Johnny Moss, Jay Heimowitz et Charlie Dunwoody . A 26 ans, il devint le plus jeune champion du monde de poker et empocha 385.000 dollars. Il récidive l’année suivante contre Perry Green et empoche 375.000 dollars. Stu Ungar devient un joueur de poker renommé et redouté. Ses nombreuses réussites ne faisant que confirmer sont talent. Mais peu à peu, il succombe de nouveau à ses penchants pour les paris et les courses. Il ira jusqu’à perdre 200.000 dollars au craps. En 1986, il est ruiné et divorce d’avec Madeline sa femme. Devenu cocaïnomane, Stu Ungar disparaît alors plus ou moins du monde du poker, on le surnome parfois "le Keith Richards du Poker"...
C'est ainsi qu'on le retrouva inconscient dans le hall de son hôtel en 1990 pendant le WSOP. Son addiction aux drogues et aux jeux en général était trop forte. Selon ses amis, à la fin de sa vie, Stuey ne vivait plus que pour sa soeur qui l'aidait beaucoup.
En 1997, il décide de participer de nouveau au championnat du monde. N’ayant plus d'argent, ce n’est qu’une heure avant le tournoi qu’il trouve Bill Baxter, son ami pour lui payer l’entrée. C'est le retour de Stuey pour un adieux au Poker et à la vie aussi. Ce fut un sacré spectacle! Le "Kid" survécut à un parterre alors record de 311 concurents. Jouant sous une tente sur Freemont Street sous une canicule accablante (l'idée de la tente ne dura pas plus longtemps pour organiser les WSOP), Stuey qui était de l'avis général le meilleur joueur de No Limit Hold'em de tous les temps bâtit une avance solide qui s'avéra insurmontable, par un jeu très agressif. Après 10 minutes de duel, il mit fin au parcours jusque là irréprochable de John Strzemp en obtenant une quinte "par le ventre" sur la rivière. Le "Kid" empocha 1.000.000 dollars et devient le seul joueur à avoir gagné 3 titres de champion du monde WSOP avec John Moss (ce record est encore, à ce jour, inégalé). Il partagea ses gains avec Bill Baxter son ami et mécène , puis réalisa une pathétique dédicace à sa soeur devant les caméras.
Baxter lui proposa de lui payer le ticket pour le WSOP de 1998, mais cette fois Stuey refusa, il était alors trop fatigué pour supporter un tournoi. Sept mois plus tard, le 22 novembre 1998 on le retrouva mort dans un Motel de Las Vegas (Oasis Motel, 1731 S), décédé suite à une overdose de cocaïne, seul et ruiné. Stuey Ungar fut intronisé à titre posthume dans le Poker Hall of Fame en 2001.
Le film "High Roller" (2005) porte à l'écran la légende de Stuey Ungar. Le réalisateur A. W. Vidmer qui était un joueur amateur de poker, fut intrigué par la vie du triple champion du monde et décida de faire un film sur la vie de Stuey Ungar. Réalisé avec un petit budget, le film documentaire distribué un peu avant l'explosion du Poker, eut un certain succés.
Après la mort de son père, il déménage à Miami, où se jouent les plus grosses parties de Gin Rami. Il enchaîne les succès, mais son penchant pour les paris et les courses le ruinera petit à petit. En 1976, sans argent, il se fait financer l’entrée d’un tournoi se déroulant à Las Vegas. La victoire ne sera qu’une simple formalité, et pour prouver sa parfaite lecture du jeu adverse, il prend plaisir à annoncer les mains perdantes de ses adversaires. Mais après avoir empoché les 50.000 dollars du vainqueur, il ne sera accepté dans aucune partie.
Il décide alors de tenter sa chance en tant que joueur de blackjack. Son excellente lecture du jeu et son incroyable capacité à compter les cartes lui vaudront de belles réussites. La légende raconte que ce sont ses capacités de comptage des cartes qui obligeront les casinos à supprimer les tables de black-jack à un seul jeu de cartes. La rumeur rapporte que de cette manière, il gagna 80.000 dollars au Caesar’s Palace. Quand le responsable décida d’arrêter la partie, Stu annonça, dans l’ordre, les 18 dernières cartes restantes dans le jeu. Sa photo fût alors affichée dans le poste de sécurité de tous les casinos du strip et il fût interdit de jeu.
Stuey Ungar commence alors à s’intéresser au poker. En 1980, il s’inscrit pour la première fois au tournoi WSOP (World Series Of Poker). Il se rendit mâitre à la table finale de Doyle Brunson (le second), Johnny Moss, Jay Heimowitz et Charlie Dunwoody . A 26 ans, il devint le plus jeune champion du monde de poker et empocha 385.000 dollars. Il récidive l’année suivante contre Perry Green et empoche 375.000 dollars. Stu Ungar devient un joueur de poker renommé et redouté. Ses nombreuses réussites ne faisant que confirmer sont talent. Mais peu à peu, il succombe de nouveau à ses penchants pour les paris et les courses. Il ira jusqu’à perdre 200.000 dollars au craps. En 1986, il est ruiné et divorce d’avec Madeline sa femme. Devenu cocaïnomane, Stu Ungar disparaît alors plus ou moins du monde du poker, on le surnome parfois "le Keith Richards du Poker"...
C'est ainsi qu'on le retrouva inconscient dans le hall de son hôtel en 1990 pendant le WSOP. Son addiction aux drogues et aux jeux en général était trop forte. Selon ses amis, à la fin de sa vie, Stuey ne vivait plus que pour sa soeur qui l'aidait beaucoup.
En 1997, il décide de participer de nouveau au championnat du monde. N’ayant plus d'argent, ce n’est qu’une heure avant le tournoi qu’il trouve Bill Baxter, son ami pour lui payer l’entrée. C'est le retour de Stuey pour un adieux au Poker et à la vie aussi. Ce fut un sacré spectacle! Le "Kid" survécut à un parterre alors record de 311 concurents. Jouant sous une tente sur Freemont Street sous une canicule accablante (l'idée de la tente ne dura pas plus longtemps pour organiser les WSOP), Stuey qui était de l'avis général le meilleur joueur de No Limit Hold'em de tous les temps bâtit une avance solide qui s'avéra insurmontable, par un jeu très agressif. Après 10 minutes de duel, il mit fin au parcours jusque là irréprochable de John Strzemp en obtenant une quinte "par le ventre" sur la rivière. Le "Kid" empocha 1.000.000 dollars et devient le seul joueur à avoir gagné 3 titres de champion du monde WSOP avec John Moss (ce record est encore, à ce jour, inégalé). Il partagea ses gains avec Bill Baxter son ami et mécène , puis réalisa une pathétique dédicace à sa soeur devant les caméras.
Baxter lui proposa de lui payer le ticket pour le WSOP de 1998, mais cette fois Stuey refusa, il était alors trop fatigué pour supporter un tournoi. Sept mois plus tard, le 22 novembre 1998 on le retrouva mort dans un Motel de Las Vegas (Oasis Motel, 1731 S), décédé suite à une overdose de cocaïne, seul et ruiné. Stuey Ungar fut intronisé à titre posthume dans le Poker Hall of Fame en 2001.
Le film "High Roller" (2005) porte à l'écran la légende de Stuey Ungar. Le réalisateur A. W. Vidmer qui était un joueur amateur de poker, fut intrigué par la vie du triple champion du monde et décida de faire un film sur la vie de Stuey Ungar. Réalisé avec un petit budget, le film documentaire distribué un peu avant l'explosion du Poker, eut un certain succés.
letangerois- Coin Flip
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Date d'inscription : 26/09/2008
Re: Les Légendes du poker
Assurément le meilleur joueur au monde ! Deux points commun avec les légendes que tu nous propose. La drogue et la grande misère dans laquelle ils ont fini
Re: Les Légendes du poker
L'envers du décor du jeu est souvent dramatique!!!
Même les meilleurs en payent le prix fort!!!!
Mais ils ont eu des vies si extraordinaire que si tu leurs posé la question:"Recommencerais tu ta vie de la sorte?
Je suis sûr qu'ils te répondrais tous sans hésitation:"C'est payé"
Même les meilleurs en payent le prix fort!!!!
Mais ils ont eu des vies si extraordinaire que si tu leurs posé la question:"Recommencerais tu ta vie de la sorte?
Je suis sûr qu'ils te répondrais tous sans hésitation:"C'est payé"
letangerois- Coin Flip
- Pseudo Winamax.fr : Le Tangerois
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Ville/Village : villebarou
Emploi/Etudes : cdl
Date d'inscription : 26/09/2008
Re: Les Légendes du poker
n'auraient ils pas eu la même vie extraordinaire sans la drogue
lagomme- Poker Face
- Pseudo Winamax.fr : lagomme41
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Ville/Village : blois
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Date d'inscription : 10/06/2008
Re: Les Légendes du poker
Stu ungar était vraiment une legende , c'était un tueur . On pourrait parler également de la légende Amarillo slim ou du génial Johnny CHAN
KrYcE- Poker Face
- Pseudo Winamax.fr : KrYcE41
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Ville/Village : Lyon
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Date d'inscription : 04/01/2009
Re: Les Légendes du poker
Amarillo Slim sera sûrement le prochain sujet a suivre demain....
letangerois- Coin Flip
- Pseudo Winamax.fr : Le Tangerois
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Ville/Village : villebarou
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Date d'inscription : 26/09/2008
Re: Les Légendes du poker
Thomas Austin Preston, Jr. est né le 31 Decembre 1928 dans l’Arkansas. Plus connu sous le nom d’Amarillo Slim, il est une légende vivante du poker.
A 16 ans il devient le plus jeune champion du monde de billard de l’histoire. Il emménage ensuite au Texas, où il fait la connaissance d’un certain Doyle Brunson. Dans les années 60, Amarillo Slim est un « rounder », un de ces joueurs errant à la recherche de parties juteuses. Il sillonne le pays en compagnie de Doyle et de Sailor Roberts et durant 6 ans ils soulagent systématiquement les poches des joueurs qui s’assoient à leurs tables. La devise d’Amarillo ? « Si tu ne repères pas le pigeon à la table, quitte la table car le pigeon c’est toi ».
En 1972 il remporte le championnat du monde WSOP (qui ne compte que 8 participants) et 2 ans plus tard il gagne un 2ème bracelet. En 1985 et 1990 il remporte l’épreuve de Pot Limit Omaha 5000$ aux WSOP.
Mais Amarillo Slim est avant tout un personnage haut en couleur, multipliant les paris les plus fous. Il prend 300000$ au chanteur Willie Nelson aux dominos, 2 millions de dollars à Larry Flynt au poker, il gagne un gros pari en jouant au billard avec un balai, au tennis de table avec une poêle, au golf avec un marteau. Il narre toutes ces anecdotes en 2003 dans sa biographie connue en France sous le titre « Ma vie est un pari ».
On peut retrouver encore aujourd'hui cette légende vivante aux tables des tournois du WSOP, à 80 ans passés.
A 16 ans il devient le plus jeune champion du monde de billard de l’histoire. Il emménage ensuite au Texas, où il fait la connaissance d’un certain Doyle Brunson. Dans les années 60, Amarillo Slim est un « rounder », un de ces joueurs errant à la recherche de parties juteuses. Il sillonne le pays en compagnie de Doyle et de Sailor Roberts et durant 6 ans ils soulagent systématiquement les poches des joueurs qui s’assoient à leurs tables. La devise d’Amarillo ? « Si tu ne repères pas le pigeon à la table, quitte la table car le pigeon c’est toi ».
En 1972 il remporte le championnat du monde WSOP (qui ne compte que 8 participants) et 2 ans plus tard il gagne un 2ème bracelet. En 1985 et 1990 il remporte l’épreuve de Pot Limit Omaha 5000$ aux WSOP.
Mais Amarillo Slim est avant tout un personnage haut en couleur, multipliant les paris les plus fous. Il prend 300000$ au chanteur Willie Nelson aux dominos, 2 millions de dollars à Larry Flynt au poker, il gagne un gros pari en jouant au billard avec un balai, au tennis de table avec une poêle, au golf avec un marteau. Il narre toutes ces anecdotes en 2003 dans sa biographie connue en France sous le titre « Ma vie est un pari ».
On peut retrouver encore aujourd'hui cette légende vivante aux tables des tournois du WSOP, à 80 ans passés.
letangerois- Coin Flip
- Pseudo Winamax.fr : Le Tangerois
Nombre de messages : 932
Age : 48
Ville/Village : villebarou
Emploi/Etudes : cdl
Date d'inscription : 26/09/2008
Re: Les Légendes du poker
Je recommande à tout le monde de lire le livre sur la vie de Stu Ungar, "Joueur-Né" de Nollan DALLA et Peter ALSON.
Il a eu une vie de fou et c'était vraiment le meilleur.
Il a eu une vie de fou et c'était vraiment le meilleur.
AA.Tonx- Back in the Business
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Age : 36
Ville/Village : Montlivault
Emploi/Etudes : En formation proffessionelle.
Date d'inscription : 21/01/2009
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